La representación de la violencia en la reciente literatura colombiana (década de 1990)

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2000

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Pablo Montoya, « La representación de la violencia en la reciente literatura colombiana (década de 1990) », América. Cahiers du CRICCAL, ID : 10.3406/ameri.2000.1449


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«Représentation de la violence dans la littérature colombienne de la décennie 1990». La violence est un phénomène complexe qui pèse sur la société colombienne depuis 1948 (assassinat de Jorge Eliécer Gaitan, leader libéral populaire). C'est devenu un sujet d'étude des sociologues, des psychologues et des politologues, un point fort du journalisme, un thème fréquent des artistes, des écrivains notamment. Les violences de la réalité ont quelque peu évolué, mais elles font partie de la représentation littéraire sous des formes qui peuvent être celles du réalisme, le roman de la violence, comme dans La mala hora (1961) de G. Garcia Marquez, El dia senalado 1963) de Manuel Mejia Vallejo, Côndores no entierran todos los dias (1974) de Gustavo Alvarez Gardeazabal. Les récits dessinent une société rurale bien déterminée, avec ses personnages typiques ( maire, prêtre, hommes de main, etc.). Cette lutte prend dans la ville une nouvelle dimension qui peut induire de nouvelles formes de représentation. A Bogota et à Medellin la violence trace un sillon de déchirements socio-culturels.

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