La vie religieuse du diocèse d'Auch sous la Troisième République (1871-1914)

Fiche du document

Date

1990

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Persée

Organisation

MESR

Licence

Copyright PERSEE 2003-2023. Works reproduced on the PERSEE website are protected by the general rules of the Code of Intellectual Property. For strictly private, scientific or teaching purposes excluding all commercial use, reproduction and communication to the public of this document is permitted on condition that its origin and copyright are clearly mentionned.


Sujets proches En

Commonwealth, The

Citer ce document

Maurice Bordes, « La vie religieuse du diocèse d'Auch sous la Troisième République (1871-1914) », Annales du Midi, ID : 10.3406/anami.1990.3268


Métriques


Partage / Export

Résumé De En Fr

Zu Beginn der Dritten Republik zählte die Diözese Auch 650 Priester und 140 Gotteshäuser und war weitgehend praktizierend gläubig. Aber der Anschluss an die Republik hat die Mehrzahl der Priester und Gläubigen nicht in ihr Fahrwasser gezogen. Die massiven Angriffe der Zivilgewalt Anfang des 20. Jhds. — Schliessung der meisten Gotteshäuser, Trennung von Kirche und Staat, antiklerikaler Druck der radikal sozialistischen Stadtverwaltungen — trugen zu einem deutlichen Rückgang des praktizierenden Glaubens bei, während ein 'reaktionärer' Prälat, Hochwürden Ricard, sich in einem von vornherein aussichtslosen religiös-politischen Kampf engagierte..

At the beginning of the Third Republic, the Diocese of Auch, with its 650 priests and 140 religious convents, had a majority of churchgoers. But the ralliement to the Republic did not sweep along most priests and faithful. But the attacks by civil power at the beginning of the 20th century — closing of most religious houses, separation of Church and State, anticlerical pressures by radical-socialist municipalities — contributed to an important falling off of practice at the same time as a « reactionnary » prelate, Mgr Ricard, undertook a political-religious combat lost in advance.

Au début de la Troisième République, le diocèse d'Auch, riche de 650 prêtres et de 140 maisons religieuses, était en majorité pratiquant. Mais le ralliement à la République n'a pas entraîné la foule des prêtres et des fidèles. Les coups de boutoir du pouvoir civil au début du XXe siècle — fermeture de la plupart des maisons religieuses, séparation de l'Église et de l'Etat, pressions anticléricales des municipalités radicales-socialistes — contribuèrent à un recul sensible de la pratique, tandis qu'un prélat « réactionnaire », Mgr Ricard, s'engageait dans un combat politico-religieux perdu d'avance.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en