Ritual Practice Without a Practitioner? Early Eleventh Century Dhāraṇī Prints in the Ruiguangsi Pagoda

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2011

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Eugene yuejin Wang, « Ritual Practice Without a Practitioner? Early Eleventh Century Dhāraṇī Prints in the Ruiguangsi Pagoda », Cahiers d'Extrême-Asie, ID : 10.3406/asie.2011.1373


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Dans la Chine médiévale, le fait de placer des images — peintures, gravures sur bois, etc. — dans les cryptes était une pratique courante. Cette pratique semble pourtant défier toute logique, ou du moins contredire notre postulat moderne sur le rôle des images : les images sont faites pour être contemplées ; quel est donc l'intérêt de les placer dans des espaces clos où elles ne peuvent être vues ? Un exemple emblématique de cette pratique est un ensemble de deux gravures dhāraṇī du XIe siècle, l'une en chinois et l'autre en sanskrit, déposées dans la crypte située sous le troisième étage de la pagode du monastère Ruiguang. Cet article dévoile, dans un premier temps, la portée de leur fonction dans des circonstances normales, en dehors du cadre de la pagode. Il reconstitue ensuite leur rôle à l'intérieur de la pagode, où elles exercent en continu leur propre rituel automatisé, sans aucun pratiquant.

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