Étude de l'élasticité et de la piézoélectricité cristallines. (I) Désaccord entre l'expérience et la théorie de Voigt

Fiche du document

Date

1954

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Persée

Organisation

MESR

Licence

Copyright PERSEE 2003-2023. Works reproduced on the PERSEE website are protected by the general rules of the Code of Intellectual Property. For strictly private, scientific or teaching purposes excluding all commercial use, reproduction and communication to the public of this document is permitted on condition that its origin and copyright are clearly mentionned.

Résumé Fr

J. Laval développant une théorie atomique de l'élasticité a montré que le nombre des coefficients élastiques s'élève à 45 et non à 21 comme en théorie de Voigt. Nous comparons les résultats prévus par ces deux théories : le phosphate monoammonique possède un axe quaternaire inverse Oξ₃ et deux axes binaires Oξ₁ et Oξ₂. Considérons les ondes planes transversales de vecteur élongation (100) qui se propagent suivant l'axe quaternaire Oξ₃ ou l'axe binaire Oξ₂ ; la théorie de Voigt leur affecte la même vitesse de propagation tandis que la théorie de Laval prévoit deux vitesses différentes. L'expérience confirme la théorie de Laval. Nous avons ensuite généralisé la théorie de Laval à la piézoélectricité et montré expérimentalement que le quartz, contrairement à la théorie classique peut être polarisé suivant son axe ternaire.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en