Mémoire d'un typographe : le coup de bleu

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1973

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Maximilien Vox, « Mémoire d'un typographe : le coup de bleu », Communication & Langages, ID : 10.3406/colan.1973.4027


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Résumé Fr

Maximilien Vox, qui a déjà publié dans « Communication et Langages » ses souvenirs sur Bernard Grasset et sur l'époque où il travaillait avec Charles Peignot ', nous parle aujourd'hui de Jean Giono, son ami Giono. C'est, avant tout, de l'homme qu'il s'agit, de sa vie quotidienne, de son caractère de sa façon d'être, de parler, de voir. Et c'est en même temps son milieu qui est évoqué, les gens et les pays : Lucien Jacques, « le copain » de toujours, le conseiller, le confident, poète et dessinateur, qui habitait un moulin à Gréoux : Antoine Rico, l'imprimeur... ; Manosque, le Contadour — cette sorte de communauté paysanne que Giono avait créée dans l'espoir de favoriser ce que l'on appelait alors « le retour à la terre » — ; la Haute- Provence, ses montagnes, ses plateaux, ses rivières. Tous ces souvenirs rendus éclatants, comme époussetés, par le grand « coup de bleu » que l'on reçoit en plein visage en arrivant à Lurs. A Lurs, où chaque année, depuis vingt ans, typographes, graphistes, éditeurs, venus du monde entier, se retrouvent durant deux semaines pour échanger leurs idées et se mettre au courant de leurs travaux, sous l'œil critique mais bienveillant du chancelier, Maximilien Vox, créateur et âme de l'Ecole de Lure. A travers ces pages éblouissantes de vie et de mouvement, Maximilien Vox nous restitue Jean Giono tel qu'en lui-même il était, et que si peu ont réellement connu dans sa vérité, lui qui exprimait toute sa philosophie en deux lignes dans le Poids du monde : « Voir est un délice ; entendre, un » étonnement voluptueux ; vivre, une qualité. »

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