Capital-risque : de gros progrès, mais pourrait mieux faire

Fiche du document

Date

1998

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Persée

Organisation

MESR

Licence

Copyright PERSEE 2003-2023. Works reproduced on the PERSEE website are protected by the general rules of the Code of Intellectual Property. For strictly private, scientific or teaching purposes excluding all commercial use, reproduction and communication to the public of this document is permitted on condition that its origin and copyright are clearly mentionned.



Citer ce document

Pierre-Michel Passy et al., « Capital-risque : de gros progrès, mais pourrait mieux faire », Revue d'économie financière, ID : 10.3406/ecofi.1998.3359


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Risk capital : some progress, but it can do better The new infatuation for risk capital recorded in Europe recently induces naturally careful observers to wonder about the perenniality of this movement. This wondering must be considered as legitimate when you consider the difficult situation of risk capital five years ago. The exceptional period actually observed is certainly due to actual circumstances but it can be explained too by the efforts engaged to rationalise the profession. However, one can regret that the measures adopted recently, notably at the fiscal plan, remain incomplete : indirect (the DSK), low ceiling, or simply always throw out (pension funds). This paper indicates the numerous changes observed during the 1993-1998 period. Its aim is to show that numerous factors are now present and entitle us to consider non quoted investments as an effective asset.

Le tout nouvel engouement enregistré en Europe pour les métiers de capital-risque/ capital-développement conduit tout naturellement à s’interroger sur la pérennité de ce mouvement. Cette interrogation semble d’autant plus légitime quand on se souvient qu’il y a seulement cinq ans, la profession se trouvait dans une situation difficile. Il est clair que la profession traverse actuellement une phase exceptionnelle qui résulte à la fois des circonstances, mais aussi des efforts entrepris pour rationaliser le métier. On peut cependant regretter que les mesures prises, notamment au plan fiscal, restent frileuses : indirectes (comme le DSK), plafonnées trop bas ou tout simplement repoussées sans cesse (fonds de pension). L’objet de cet article est de mettre en lumière les nombreux changements intervenus depuis 1993 et de montrer ainsi que de nombreux facteurs semblent réunis pour permettre à l’investissement en non coté de constituer une classe d’actifs à part entière.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en