Borges y el medioevo literario de España.

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2007

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Andrés Lema-Hincapie, « Borges y el medioevo literario de España. », Bulletin hispanique, ID : 10.3406/hispa.2007.5286


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Résumé En Fr Es

In Borges's opus we find very few références to medieval literature from Spain. What is the reason for this absence, and what is the meaning ofthose few références that do existí Borges was a reader of Mío Cid, La Celestina, Gonzalo de Berceo, the Libro de buen amor, and the Coplas of Jorge Manrique. Borges's interprétations of these works hinge on his interest in Connecting them with literary and philosophical coordinates of a tradition wider than Spain itself that is to say, with the Western tradition.

On ne trouve dans le corpus littéraire de Borges que fort peu de références à la littérature médiévale de l'Espagne. Il faut donc se demander pourquoi cette présence est si limitée et quel est le sens de ces références. Borges a lu le Mío Cid, La Celestina, Gonzalo de Berceo, le Libro de buen amor et les Coplas de forge Manrique. Son interprétation de ces œuvres se fonde sur son désir de les mettre en correspondance avec les références littéraires et philosophiques d'une tradition plus vaste que celle de l'Espagne elle-même, c'est-à-dire avec la tradition de l'Occident.

Son significativamente escasas las referencias a la literatura medieval española en el corpus de Jorge Luis Borges. ¿Por qué esta exigüidad y cuál es el sentido de esas pocas referencias? Borges fue lector del Mío Cid, de La Celestina, de Gonzalo de Berceo, del Libro de buen amor y de las Coplas de Jorge Manrique. Su interpretación de estas obras parte de un interés por conectarlas con coordenadas literarias y filosóficas de una tradición más amplia que la de España misma, esto es, con la tradición de Occidente.

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