Les leçons de la forme. Façades et enveloppes dans l’architecture suisse alémanique depuis les années 1980

Fiche du document

Date

2013

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Persée

Organisation

MESR

Licence

Copyright PERSEE 2003-2023. Works reproduced on the PERSEE website are protected by the general rules of the Code of Intellectual Property. For strictly private, scientific or teaching purposes excluding all commercial use, reproduction and communication to the public of this document is permitted on condition that its origin and copyright are clearly mentionned.




Citer ce document

Émeline Curien, « Les leçons de la forme. Façades et enveloppes dans l’architecture suisse alémanique depuis les années 1980 », Histoire de l'art, ID : 10.3406/hista.2013.3450


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Since the middle of the nineteen-eighties, a new7 sensibility appeared in Swiss German architecture, which was heavily influenced bv the art and the processes of minimal art. The volumes of the buildings became more abstract, and the role of the facade was deeply changed. We are no longer encouraged to read the buildings, but instead to live immediate experiences in their presence. Herzog and de Meuron, Roger Diener, Burkhal-ter and Sumi, Peter Zumthor, Gigon and Guyer, Miller and Maranta, and Valerio Olgiati took part in this development, which appeared alongside a mutation of the tools of the architectural critic. Some writers, such as Martin Steinmann, did not base their works on semiotical foundations, but phenomenological ones.

Au milieu des années 1980 émerge dans l’architecture suisse alémanique une sensibilité nouvelle, influencée notamment par les œuvres et les processus de l’art minimal. Les volumes des édifices gagnent en abstraction, et le rôle des façades est profondément modifié. Nous ne sommes plus invités à déchiffrer le bâtiment, mais à vivre une expérience immédiate en sa présence. Herzog et de Meuron, Roger Diener, Burkhalter et Sumi, Peter Zumthor, Gigon et Guyer, Miller et Maranta ou Valerio Olgiati participent de cette évolution, qui s’accompagne d’une mutation des outils de la critique architecturale. Certains auteurs, tel Martin Steinmann fondent cette dernière sur des fondements phénoménologiques plutôt que sémiologiques.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en