La place des confréries dans l'encadrement religieux du contado florentin : l'exemple de la Val d'Elsa

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1973

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Charles-Marie de La Roncière, « La place des confréries dans l'encadrement religieux du contado florentin : l'exemple de la Val d'Elsa », Mélanges de l'école française de Rome, ID : 10.3406/mefr.1973.2281


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Charles M. de La Roncière, La place des confréries dans encadrement religieux du contado florentin exemple de la Val d'Elsa, 31-77. Dans un cadre géographique restreint, celui de la Val d'Elsa, étude de la spiritualité des confréries au XIVe siècle après leurs statuts. Mariales ou pénitentielles (flagellants) les sociétés pieuses sont à la fois autonomes et bien intégrées dans la vie de l'Eglise. D'autre part, en réunissant tous les renseignements qu'on peut avoir sur les niveaux de fortune et l'activité professionnelle des confrère, on constate qu'ils se recrutent surtout dans les classes moyennes. La vitalité très inégale de ces associations n'a pas dû leur permettre d'exercer une influence profonde sur la masse de la population. Elles n'ont guère pénétré le milieu proprement rural et, dans les bourgades, leur essor coïncide avec le début une décadence qui amène les habitants à rétablir au niveau spirituel une solidarité qui se défait dans la vie courante.

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