Sors oraculi : les oracles en Italie sous la République et l'Empire

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1990

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Jacqueline Champeaux, « Sors oraculi : les oracles en Italie sous la République et l'Empire », Mélanges de l'école française de Rome, ID : 10.3406/mefr.1990.1669


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Jacqueline Champeaux, Sors oraculi : les oracles en Italie sous la République et l'Empire, p. 271-302. Pour les Latins, qui appellent sors non seulement les « tablettes » prophétiques, mais toute «réponse» d'un oracle, la divination oraculaire est, fondamentalement, de nature cléromantique. Le recensement des sources littéraires et archéologiques, représentations de sorts, sortes de matière et de forme diverses, livrées par les fouilles, confirme le témoignage de la langue. Les oracles de l'Italie sont tous, ou presque, des oracles par les sorts. Même s'ils n'ont jamais eu le rayonnement des oracles grecs, ils sont cependant beaucoup plus nombreux que ne l'imaginait un jugement préconçu. Ils se répartissent sur toute la péninsule, avec une densité particulière dans le Latium et en Étrurie, mais aussi oracles osques et grec (v. au verso) (à Cumes) et oracles de Cisalpine : dénombrement qui permettra, par la suite, d'établir une typologie des sorts et de poser le problème de leurs rapports avec la divination inspirée.

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