Zur Geschichte und Chemie des « Lapis ophtalmicus » unter besonderer Berücksichtigung der Entwicklung quantitativer Kupferbestimmungen in der Pharmazie

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1975

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Wietschoreck, « Zur Geschichte und Chemie des « Lapis ophtalmicus » unter besonderer Berücksichtigung der Entwicklung quantitativer Kupferbestimmungen in der Pharmazie », Revue d'Histoire de la Pharmacie, ID : 10.3406/pharm.1975.7464


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Résumé Fr

De l'histoire et de la chimie de Lapis ophthalmicus en tenant particulièrement compte du développement des méthodes de dosage du cuivre en pharmacie C'est probablement l'oculiste parisien Yves qui a introduit en thérapeutique Lapis opththalmicus sive divinus dans la première moitié du XVIIe siècle. Ce médicament, résultat de la fusion de parties égales de sulfate de cuivre, de salpêtre et d'alun additionné d'un peu de camphre, a été mentionné pour la première fois dans la postiatrochimie dans la Pharmacopée de Wurttemberg de 1741 et dans la Taxe de Stuttgart de 1741. Il n'existait pas au début de données analytiques. Il a figuré encore sous le terme de Cuprum aluminatum dans la Pharmacopée allemande de 1926 et la Pharmacopée suisse de 1933, qui renfermaient des données précises sur les méthodes d'identification. Il a été remplacé en thérapeutique par les sulfamides vers 1940. L'auteur commente l'étude de deux préparations de musée. Etant donné le peu de matière disponible, on a dû avoir recours à l'absorption atomique. L'auteur décrit, dans le contexte de problèmes historiques, l'évolution du dosage du cuivre, en partant des méthodes classiques telles que gravimétrie et analyse volumétrique, jusqu'à l'emploi d'électrodes spéciales spécifiques en passant par la méthode à la dithizone, la polarographie et la chromatographic sur couche mince.

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