400 numéros : hommage aux bienfaiteurs, donateurs et actifs de la Société d’histoire de la pharmacie

Résumé En Fr

400th issue : the reflection of the constant financial solidarity of the benefactors, donors and membership of the Society of History of the Pharmacy – The Society of History of the Pharmacy and its Bulletin began to exist, in 1913, thanks to the patronage of the Pharmacie Centrale de France, via its director Charles Buchet. Between 1920 and 1927, the increase of the number of donations and members encouraged the association to become independant. In 1928, serious financial difficulties prevented the Pharmacie Centrale de France maintaining its financial end material supports. Many pharmaceutical laboratories, as new benefactors and donors, have joined the association to supply this lack. They were represented through numerous advertisings publisehd in the supplement of the Review of the history of the Pharmacy (Revue d’histoire de la Pharmacie) named Dionysos. From 1942-1943, their patronage faded and the contributions of the actives members became superior to the contributions of these manufacturers. Since the middle of the 1980s, there has been a slow erosion of membership, especially a collapse of support from pharmaceuticals compagnies.

400 numéros : le reflet de la solidarité financière assidue des bienfaiteurs, donateurs et actifs de la Société d’histoire de la pharmacie – La Société d’histoire de la pharmacie et son Bulletin commencèrent d’exister, en 1913, grâce au mécénat de la Pharmacie Centrale de France, via son directeur Charles Buchet. Entre 1920 et 1927, l’augmentation du nombre de dons et d’adhérents incita l’association à s’émanciper de son mécène historique. À partir de 1928, de graves difficultés financières le contraignirent à cesser son soutien financier et matériel, et il fut remplacé par une multitude de laboratoires pharmaceutiques, nouveaux bienfaiteurs et donateurs, représentés à travers des publicités publiées dans le supplément de la Revue d’histoire de la pharmacie, Dionysos. Mais leur mécénat s’estompa avec l’arrivée de la Seconde Guerre mondiale, et à partir de 1942-1943, les cotisations des membres actifs devinrent supérieures aux apports de ces industriels de la pharmacie. Si, en 1963, cinquante ans après sa création, la Société était riche de plus de mille membres, à partir du milieu des années 1980 débuta une lente et constante érosion des adhésions et un effondrement du soutien des laboratoires pharmaceutiques.