1967
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Maurice Lacroix, « Notes sur quelques passages d'Euripide », Revue des Études Grecques, ID : 10.3406/reg.1967.3929
Héraclès, 107 et 119, il n'y a pas lieu à correction, la dernière syllabe de ύπώροφα pouvant être allongée devant le μ de μέλαθρα ; — 121-122, suggestion de J.-P. Mahé : écrire ainsi le passage mis entre deux | dans l'éd. Parmentier : ζυγηφόρον πόλον άνέντες ώς βάρος φέρον τροχηλάτοιο πώλου (« laissant partir la roue qui porte l'attelage, car c'est une lourde charge que celle d'un cheval ballotté par le char ») ; — 735 : maintenir ἐς Ἅιδαν ou ἐς Ἅιδα (au lieu de la correction ἐξ Ἅιδα) et comprendre μέγας ὁ πρόσθ' ἄναξ comme désignant Lycos ; — 845 : comprendre «j'ai là une fonction qui n'est pas, pour mes amis, d'une nature telle qu'ils la trouvent agréable» ; — 891 : écrire Κατάρχεται χορεύματα τυπάνων ἄτερ ; — 1159 : écrire φέρ' ἄν τι κρατὶ περιβάλω πέπλῳ σκότος ; — Bacchantes, 8 : écrire τυφόμεν' ἁδροῦ τε πυρὸς έτι ζώσαν φλόγα — cf. Plut. Vie de Solon, 1 — et comprendre « les ruines fumantes de l'édifice et la flamme encore vivante d'un feu épais ».