Rheinbrücken

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1992

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Karlheinz Hottes, « Rheinbrücken », Revue Géographique de l'Est, ID : 10.3406/rgest.1992.2238


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Résumé De Fr

Der Rhein ist nicht nur der am intensivsten genutzte Fluß in Europa, vielmehr verbinden zwischen Hüningen/Weil und Emmerich/Kleve fast 60 leistungsfähige Briicken die so intensiv genutzten Ufer, deutsche Bundesländer und westeuropäische Staaten mit- einander. Nach römischen und mittelalterlichen Bauphasen setzt der moderne von Eisen/Stahl und später auch von Béton geprägte Brückenbau 1855/59 ein. Nach der totalen Zerstörung aller Brücken gegen Ende des 2. Weltkrieges erfolgten danach die Brückenschläge oft in konstruktiv wegweisenden Formen als markante neue Elemente im Städtebild und der Rhein-Landschaft. Abgesehen von den täglichen Staus auf Großstadt-Brucken erscheint auch die künftige Leistungsfähigkeit der anderen Brücken zunächst noch voll ausreichend, um den zusätzlichen Verkehr durch die westeuropäische Verschmelzung ab 1993 und durch die neuen Anforderungen aus dem Verkehr mit den nun freien osteuropäischen Staaten zu bewältigen. Jedenfalls partizipieren Frankreich und Deutschland an Rheinbrücken in hohem Maße.

Les ponts du Rhin. — Le Rhin n'est pas seulement le fleuve le plus intensément exploité en Europe. Il est aussi l'un des cours d'eau qui a donné l'occasion de construire un maximum de ponts d'une rive à l'autre : entre Huningue/Weil au Sud et Emmerich/Kleve au Nord, près d'une soixantaine de ponts rapprochent des Länder allemands et des Etats européens. Après les marques des périodes antiques et médiévales, la construction en fer/acier a fait son irruption dès 1855/1859, relayée au XXe siècle par le béton. Après la destruction de la totalité des ponts à la fin du second conflit mondial, la construction pontuaire s'adapta plus systématiquement à l'urbanisme et aux paysages rhénans. En-dehors des embouteillages propres aux ponts des grandes villes, les capacités d'écoulement du trafic des ponts rhénans apparaissent encore comme suffisantes en 1993, malgré l'accroissement des flux inhérents aux ouvertures de l'Europe de l'Est. En tout état de cause, la France et l'Allemagne sont les principales parties prenantes des ponts rhénans.

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