Leonardo da Vinci’s London Virgin of the Rocks re-examined

Fiche du document

Date

20 juin 2024

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Source

Technè

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2750-6185

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1254-7867

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/embargoedAccess , https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/




Citer ce document

Marika Spring et al., « Leonardo da Vinci’s London Virgin of the Rocks re-examined », Technè, ID : 10.4000/11v46


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

The anniversary in 2019 of Leonardo’s death prompted a new investigation of the Virgin of the Rocks now in the National Gallery in London. This built on a substantial foundation of earlier research, one past milestone being the discovery through infrared reflectography of an underdrawing for a completely different composition, showing a Virgin higher up on the panel and in a different pose. This paper focuses on the latest findings associated with this first abandoned composition, discussing how the re-examination using macro X-ray fluorescence (XRF) scanning and reflectance imaging spectroscopy (RIS) in the infrared range allowed a much more complete visualisation of the initial design, found to include figures for the Christ Child and an angel. The new study also provided interesting insights into Leonardo’s underdrawing materials and methods, identifying different drawing media (which include zinc-containing iron gall inks mixed with variable amounts of carbon black), seemingly used at different stages of the creative process to develop initial ideas into a more defined composition. The findings are relevant to the long genesis of the painting and its relationship with the version in the Musée du Louvre, Paris.

À l’occasion de l’anniversaire de la mort de Léonard de Vinci en 2019, il a été procédé à une nouvelle étude de La Vierge aux rochers conservée aujourd’hui à la National Gallery à Londres. Elle s’est appuyée sur un socle substantiel de recherches antérieures, dont un jalon fut la découverte par réflectographie infrarouge d’un dessin sous-jacent préparatoire à une composition entièrement différente, montrant une Vierge située plus haut sur le panneau et dans une autre pose. Le présent article traite principalement des résultats les plus récents relatifs à cette première composition abandonnée, en exposant comment un nouvel examen par cartographie en macro-spectrométrie de fluorescence de rayons X (XRF) et spectroscopie d’imagerie par réflectance (RIS) dans la gamme infrarouge a permis de visualiser plus complètement le dessin initial, dont on a découvert qu’il comportait des figures correspondant à l’Enfant Jésus et à un ange. La nouvelle étude a également apporté d’intéressantes informations sur les matériaux et les méthodes utilisés par Léonard de Vinci pour réaliser le dessin sous-jacent, en identifiant différents médiums (notamment des encres ferro-galliques au zinc, mélangées à des quantités variables de noir de carbone), apparemment employés à différents stades de la création et visant à développer les idées initiales en une composition mieux définie. Ces résultats sont en adéquation avec la longue genèse du tableau et sa relation avec la version du musée du Louvre à Paris.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en