rikawa: Tasmanian Aboriginal Kelp Water Containers

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1 juillet 2024

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Stéphanie Leclerc-Caffarel et al., « rikawa: Tasmanian Aboriginal Kelp Water Containers », Artefact, ID : 10.4000/11wun


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Résumé En Fr

: Water containers made of kelp from lutruwita (Tasmania) are one of the rarest object types found in ethnographic museum collections. Only two, well-documented, historic examples still exist. The British Museum holds one given to it in 1851, after the Great Exhibition of London. An older example, which formed part of the collections of a French naturalist engaged on the d’Entrecasteaux expedition in southern lutruwita in the early 1790s, was located at the musée du quai Branly – Jacques Chirac in 2019, after it had been mislabelled and was thought to be lost for several decades. The technical and cultural information that these two containers evidence is invaluable to Aboriginal people (palawa) in lutruwita today. This paper discusses and reflects on the on-going collaborative research, which involves the Tasmanian Aboriginal community as well as museum scientific staff and curators, in an effort to better understand these rare objects and the once lost techniques they exemplify.

 : Dans les collections ethnographiques des musées, les récipients à eau en algue (kelp) de lutruwita (Tasmanie) comptent parmi les objets les plus rares. Seuls deux exemplaires historiques bien documentés subsistent. Le British Museum en conserve un, qui lui fut donné en 1851 à l’issue de l’Exposition universelle de Londres. Un autre, plus ancien et que l’on croyait perdu, se trouvait autrefois dans la collection d’un naturaliste français ayant pris part à l’expédition d’Entrecasteaux, qui visita le sud de lutruwita au début des années 1790. Il a été localisé en 2019 au musée du quai Branly – Jacques Chirac, où il était mal identifié. Les informations techniques et culturelles dont ces deux récipients témoignent ont aujourd’hui une valeur inestimable pour les communautés aborigènes (palawa) de lutruwita. Cet article revient sur la recherche collaborative menée actuellement sur ces objets par les communautés aborigènes, en partenariat avec les scientifiques et les conservateurs de musées, dans le but de mieux comprendre les techniques, un temps disparues, que ces objets illustrent.

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