L’art africain, des vitrines des musées aux vitrines des galeries

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5 juillet 2024

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Danielle Maurice, « L’art africain, des vitrines des musées aux vitrines des galeries », Revue d'histoire culturelle, ID : 10.4000/11yci


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Cet article porte sur l’association populaire des amis des musées (Apam) et sa revue, Le Musée vivant. Cette association, au sein de laquelle œuvra Madeleine Rousseau, fit beaucoup, entre les deux guerres mondiales, pour promouvoir l’art africain, en particulier au sein du musée de l’Homme. La revue reflète ce paradoxe colonial qui traverse le monde scientifique, les intellectuels et les organisations de gauche. Le musée a un discours et un projet humanistes, mais reste colonialiste et au nom de la science sauvegarde les archives de l’humanité dans le temps et dans l’espace en s’appropriant le patrimoine matériel et immatériel du reste du monde.

This article focuses on the Association populaire des amis des musées (Apam) and its magazine, Le Musée vivant. This association, which included Madeleine Rousseau, did much to promote African art between the two world wars, particularly at the Musée de l’Homme. The magazine reflects the colonial paradox that runs through the scientific world, intellectuals and left-wing organizations. The museum has a humanist discourse and project, but remains colonialist and, in the name of science, safeguards the archives of humanity in time and space by appropriating the tangible and intangible heritage of the rest of the world.

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