Mythes et héros de la Révolution mexicaine dans El laberinto de la soledad de Octavio Paz et le muralisme mexicain : un imaginaire collectif

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6 mars 2018

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Béatrice Ménard, « Mythes et héros de la Révolution mexicaine dans El laberinto de la soledad de Octavio Paz et le muralisme mexicain : un imaginaire collectif », L’Âge d’or, ID : 10.4000/agedor.328


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Après une présentation du jugement critique porté par Octavio Paz sur le muralisme mexicain à partir de quelques articles de El privilegio de la vista, cet article procède à une étude comparée de l’image de la Révolution de 1910 dans El laberinto de la soledad et dans l’œuvre murale de Diego Rivera, José Clemente Orozco et David Alfaro Siqueiros. Il montre comment, tant dans le chapitre VI de l’essai de Paz que dans la sélection de fresques murales analysées, la Révolution apparaît comme une rupture historique qui se traduit par une « révélation » de la réalité mexicaine. Il étudie ensuite la représentation des « mythes populaires » associés à la Révolution à partir de la construction des héros révolutionnaires, en particulier Zapata. Il s’interroge enfin sur la représentation de la Révolution comme « fête des balles » dans El laberinto de la soledad et le muralisme mexicain, notamment dans l’œuvre de Orozco.

Tras una presentación del juicio crítico emitido por Octavio Paz sobre el muralismo mexicano a partir de algunos artículos de El privilegio de la vista, este artículo procede a un estudio comparado de la imagen de la Revolución de 1910 en El laberinto de la soledad y en la obra mural de Diego Rivera, José Clemente Orozco y David Alfaro Siqueiros. Muestra cómo, tanto en el capítulo VI del ensayo de Paz como en la selección de murales analizados, la Revolución aparece como una ruptura histórica que se traduce por una « revelación » de la realidad mexicana. Estudia luego la representación de los « mitos populares » asociados a la Revolución a partir de la construcción de los héroes revolucionarios, en particular Zapata. Se interroga por fin sobre la representación de la Revolución como « fiesta de las balas » en El laberinto de la soledad y el muralismo mexicano, especialmente en la obra de Orozco.

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