Muerte después de Reyes de Manuel de la Escalera (1895-1994)

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12 octobre 2021

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Requejo Carrio Marie-Blanche, « Muerte después de Reyes de Manuel de la Escalera (1895-1994) », L’Âge d’or, ID : 10.4000/agedor.5664


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Résumé Es Fr

Este artículo versa sobre un diario clandestino, escrito por Manuel de la Escalera (1895-1994) desde los pasillos de la muerte de la cárcel de Alcalá de Henares en 1945. Nuestro objetivo es analizar las modalidades de una escritura que, desde la urgencia, encuentra en la forma del diario las posibilidades de satisfacer dos deseos aparentemente contradictorios entre por una parte la necesidad de testimoniar en nombre de una colectividad martirizada y por otra, la de dejar paso a los recuerdos personales. En el encuentro entre las dos temporalidades radica la ejemplaridad de un texto cuya elaboración estética, lejos de debilitar la fuerza del testimonio, la refuerza para darle un alcance ejemplar y universal en el que radica la singularidad de este testimonio literario en el panorama de las Letras españolas.

Notre travail porte sur l’étude d’un journal clandestin, écrit par Manuel de la Escalera (1895-1994) dans les couloirs de la mort de la prison d’Alcalá de Henares, en 1945. L’enjeu de cette étude est d’analyser les modalités d’une écriture qui, depuis l’urgence, trouve dans la forme du journal, la possibilité de satisfaire deux désirs apparemment contradictoires entre d’un côté la nécessité de témoigner au nom d’une collectivité martyrisée, et d’un autre côté, celle de laisser libre cours aux souvenirs personnels. De cette rencontre entre deux temporalités, naît l’exemplarité d’un texte dont l’élaboration esthétique, loin d’affaiblir la force du témoignage, la renforce et lui confère toute la portée exemplaire et universelle qui le caractérise. C’est là que réside la singularité de ce témoignage dans les Lettres espagnoles.

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