10 décembre 2021
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1249-8947
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2558-7927
All rights reserved , info:eu-repo/semantics/openAccess
Camille Riquier, « Le siècle de Sartre ou quand la foi n’était jamais la bonne », Alter, ID : 10.4000/alter.2245
Tantôt nous retenons que Dieu s’est donné au temps de sa venue, mais nous pensons que le don, le message et la vie du Christ sont épuisés. […] Tantôt, en sens inverse, nous oublions que Dieu s’est donné en personne, absolument, pour croire que tout est à inventer, que l’Église n’a pas d’héritage. Sartre nous offre, semble-t-il, les moyens de bien poser le problème de notre incrédulité nouvelle, pour peu qu’on n’appauvrisse pas le sens qu’il a donné à la notion de « mauvaise foi ». Gardons-nou...