A Journey from Virtual and Mixed Reality to Byzantine Icons via Buddhist Philosophy

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11 mars 2020

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Paolo S. H. Favero, « A Journey from Virtual and Mixed Reality to Byzantine Icons via Buddhist Philosophy », Anthrovision, ID : 10.4000/anthrovision.4921


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Résumé En Fr Es

In the context of contemporary digital art and documentary making, practitioners are discovering the possibilities given by emerging image-based immersive practices, techniques and tools (360-degree video and photography; virtual, augmented, and mixed reality) to wrap viewers in the image and to blur the distance between viewer and viewed, ‘self’ and ‘other’. Challenging the distinction between presence and absence and between body and mind, these practices also seem to attack another set of divides, i.e. between past and present, here and there. An intrinsic part of late-modern, industrial, capitalist societies new experiences in immersive visual documentary and art (MR and VR especially) contain traces of continuity with the visualities that characterise other (non-modern) places and times. They share some of the core principles that characterise the visuality of, for instance, Byzantine icons, as well those of Hindu popular religious art. Based on the concrete analysis of a selected number of examples gathered form the world of contemporary MR and VR performance art this article suggests that art is always the result of a dialogue across the elsewhere and the ‘elsewhen’. Underpinning this article is also the idea that an act of decolonisation of knowledge, enacted by means of the use of categories imported from other epistemologies (such as Byzantine and Hindu image theory as well as Buddhist philosophy) can help us look at contemporary emerging arts and documentary practices with new eyes.

Les praticiens de l’art numérique contemporain et des documentaristes découvrent les possibilités immersives fondées sur les images, techniques et outils (per exemple 360-degrés vidéo et photographie ; réalité virtuelle, augmentée et mixte) servant à inclure l’observateur dans l’image, et de brouiller ainsi la distance entre observateur et observé, entre soi et monde. Étant donné que ces pratiques défient la distinction entre présence et absence, elles semblent aussi s’attaquer à d’autres dualités, comme celle entre passé et présent, ici et là-bas. Ces nouvelles expériences en arts visuels immersifs apparaissent comme intrinsèques des sociétés capitalistes industrielles de la modernité tardive. Pourtant, ces arts portent tout autant des traces de continuité avec des visualités qui caractérisent d’autres lieux (non-modernes) et époques. Ils partagent, par exemple, des principes de base de la visualité avec les icônes Byzantines, ou avec l’art religieux populaire Hindou. Fondé sur l’analyse d’exemples concrets du domaine de l’art de la performance contemporain e MR et VR, cet article propose que l’art serait toujours le résultat d’un dialogue avec un autre lieu et un autre temps. Une autre idée est sous-jacente : promulgué e par l’utilisation de catégories importées d’autres épistémologies (telle que la théorie de l’image Byzantine et Hindoue, ou de la philosophie Bouddhiste), un tel acte de décolonisation de connaissances permettrait un nouveau regard sur les arts contemporains émergeants et les pratiques documentaires.

Este artículo presenta una propuesta metodológica para el trabajo entre la antropología y las artes que se basa en la relación entre la forma social y la forma estética. Parte del trabajo de los autores con los editores cartonera en América Latina. Éstos son pequeños colectivos comunitarios cuyos miembros fabrican libros de bajo coste a partir de cartón reciclado en un intento explícito de hacer que el consumo y la producción de literatura sean accesibles para la sociedad en general. Comenzamos describiendo a Dulcinéia Catadora, una editora de cartonera de São Paulo que es el foco etnográfico de este artículo. Luego presentamos tres proposiciones teóricas que nos permiten analizar los procesos sociales y políticos no de manera aislada, sino más bien en relación, preguntando cómo la práctica etnográfica puede cruzarse con la estética en un modo que va más allá de lo ilustrativo. Concluimos proponiendo lo que llamamos un enfoque metodológico "trans-formal", basado en un método de "emulación", que abre nuevas posibilidades para una investigación multidisciplinaria, transnacional, horizontal y participativa.

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