Inscrire les fantômes dans les villes

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21 décembre 2020

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Dans cet article, nous nous proposons de développer une théorie philosophique de la trace qui pourra, à partir de la lecture que fait Jacques Derrida de la psychanalyse, élaborer une esthétique « spectrale » qui surgit de l’occupation des villes ayant dû faire face à des violences extrêmes (notamment la disparition politique) par des images des corps dans quelques expériences artistiques, comme celles du Siluetazo (1983) argentin. Pour ce faire, il nous faudra essayer d’établir les rapports entre trace, archive, inscription, images techniques et innervations des corps. Tout ceci nous conduira à montrer comment l’art, quand il dépasse ses limites institutionnelles et acquiert le statut d’expérience collective, est à même d’accueillir les fantômes qui hantent nos sociétés et nos villes en exigeant justice.

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