9 juillet 2015
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Vincent Carpentier et al., « Les camps de prisonniers allemands. Un nouveau champ de recherche pour l’archéologie française », Archéopages, ID : 10.4000/archeopages.549
Au lendemain de la capitulation allemande, ratifiée le 8 mai 1945 à Karlshort, à l’est de Berlin, la France retient sur son sol un million de prisonniers dont 90 % de nationalité allemande. Les trois quarts environ de ces hommes (740 000) ont été mis à disposition des autorités françaises par l’armée des États-Unis, à partir de février 1945 (Théofilakis, 2007, 2010 et 2014). De l’Allemagne à la France La plupart de ces anciens soldats avaient séjourné dans l’un des dix-neuf camps (Prisoners ...