A friendly ghost, a head in a well, a mute madwoman – and much more: weird comedy in Peele’s The Old Wife’s Tale (1595); or, Jack the friendly ghost

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31 décembre 2022

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Charles Whitworth, « A friendly ghost, a head in a well, a mute madwoman – and much more: weird comedy in Peele’s The Old Wife’s Tale (1595); or, Jack the friendly ghost », Arrêt sur scène / Scene Focus, ID : 10.4000/asf.2274


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Résumé En Fr

Friendly ghosts are rare in English drama, as elsewhere. We expect ghosts to be scary, vengeful, angry, ugly. When authors try to create nice ghosts, problems arise: ghosts are not supposed to be nice! In his comedy The Old Wife's Tale (1595), George Peele invented Jack, the ghost (apparently) of a recently deceased young man. His friends wish to see him properly buried in the parish churchyard. Meanwhile, Jack goes about doing good deeds. He is not alone in the weird, dreamlike world of Peele’s play; there is a sorcerer, a mute madwoman, a speaking head in a well, and more. All this in a ‘tale’ told by an old woman to two unexpected guests, late at night. The existential status of Jack is far from clear. What is clear is that he facilitates the happy dénouement of the main plot of the play-within, and then disappears in a dramatic final scene.

Les fantômes aimables sont plutôt rares dans le théâtre anglais. On s’attend à ce qu’ils soient plutôt vindicatifs, colériques, laids. Quand les auteurs essaient de créer des fantômes sympathiques, des problèmes surgissent, car les fantômes ne sont pas censés être gentils. George Peele a inventé, dans sa comédie The Old Wife’s Tale, le personnage de Jack, le spectre (apparemment) d’un jeune homme récemment décédé. Ses amis souhaitent le voir enterré dignement dans le cimetière de la paroisse. Pendant ce temps, Jack s’occupe à rendre service. Jack n’est pas le seul être étrange dans le monde onirique de la pièce : il y a, entre autres, un sorcier, une folle muette, une tête qui parle dans un puits. Tout ceci dans un « conte » raconté par une vieille dame à deux visiteurs inattendus, tard la nuit. Autant le statut existentiel de Jacques est ambigu, autant il est clair qu’il est l’agent de l’heureux dénouement de l’intrigue principale, avant de disparaître dans une scène finale dramatique.

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