Peut-on vieillir sans médecins ? La réponse des auteurs de régimes de santé ou « conseils pour vivre longtemps » aux xviie et xviiie siècles

Fiche du document

Date

3 novembre 2011

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Source

Astérion

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1762-6110

Organisation

OpenEdition

Licences

https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess




Citer ce document

Claire Crignon-De Oliveira, « Peut-on vieillir sans médecins ? La réponse des auteurs de régimes de santé ou « conseils pour vivre longtemps » aux xviie et xviiie siècles », Astérion, ID : 10.4000/asterion.2018


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

L’examen du corpus constitué par les régimes de santé en Europe, entre la fin du xvie siècle et le xviiie siècle, permet d’apporter des réponses intéressantes à la question de savoir si l’on peut vieillir sans médecins. Depuis le Trattato de vita sobria de l’Italien Luigi Cornaro (1558) jusqu’à The History of Health and the Art of Preserving it (1758) rédigée par l’Écossais James MacKenzie, on assiste à un effort pour distinguer le processus naturel du vieillissement de la vieillesse comme maladie. L’approche médicale préventive et diététique du vieillissement se trouve ainsi intégrée au sein d’une réflexion anthropologique et le projet de prolongation de la vie justifiée d’un point de vue théologique. L’enjeu est bien de s’efforcer de penser le sens moral, politique et plus généralement existentiel d’une vie humaine prolongée.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en