18 juillet 2013
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Alessandro Leiduan, « Le dévoiement moral dans la littérature de la Renaissance : Fernando de Rojas au miroir de Ludovic Arioste », Babel, ID : 10.4000/babel.225
Cet article se propose de relever les points de convergence possibles entre La Celestina de Fernando de Rojas et La Lena de l’Arioste. L’analyse des deux œuvres met en lumière l’affleurement, au sein du théâtre italien et du théâtre espagnol du XVIe siècle, d’une réflexion sur le rapport de l’homme au Mal, sur les causes qui peuvent l’amener à se pervertir, à choisir de se mettre volontairement hors la loi, réflexion qui a conduit à légitimer pleinement le rapprochement, souvent évoqué, mais insuffisamment argumenté, des deux pièces.