Les limites d’un roman : pratiques transfictionnelles dans l’œuvre de Fortuné du Boisgobey

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29 juin 2021

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Nicolas Gauthier, « Les limites d’un roman : pratiques transfictionnelles dans l’œuvre de Fortuné du Boisgobey », Belphégor, ID : 10.4000/belphegor.3743


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La récurrence du Lecoq d’Émile Gaboriau et du Sherlock Holmes de Sir Arthur Conan Doyle illustre éloquemment l’importance des constructions transfictionnelles dans le roman judiciaire et le récit policier. Si aucun autre exemple véritablement comparable ne s’impose d’emblée durant la seconde moitié du xixe siècle, on constate que quelques auteurs se sont employés à édifier autrement des ensembles romanesques. Parmi eux, Fortuné du Boisgobey (1821-1891) se distingue tout particulièrement. Il publie entre 1875 et 1885 plusieurs récits qui, loin de fonctionner en autarcie, se convoquent mutuellement et mettent en place des univers fictionnels fondés sur des procédés qui invitent le lecteur à s’interroger sur le statut de ce qu’il lit. Ce faisant, Boisgobey propose une conceptualisation singulière et originale du genre judiciaire.

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