Secondary sex estimation using morphological traits from the cranium and mandible: application to two Merovingian populations from Belgium

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7 avril 2024

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Bérénice Chevalier et al., « Secondary sex estimation using morphological traits from the cranium and mandible: application to two Merovingian populations from Belgium », Bulletins et mémoires de la société d’anthropologie de Paris, ID : 10.4000/bmsap.13997


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Résumé Fr En

Il est généralement admis que l’os coxal est l’os le plus fiable pour l’estimation du sexe chez les sujets adultes. Lorsque ce dernier n’est pas exploitable, les chercheurs se tournent généralement vers des méthodes basées sur le crâne (le bloc crânio-facial et la mandibule). Or, ces méthodes sont moins fiables, car elles reposent en grande partie sur une estimation de la robustesse, qui peut être influencée par des caractéristiques indépendantes du sexe du sujet. Dans le contexte de la diagnose sexuelle primaire, les estimations basées sur le crâne devraient ainsi être évitées. Toutefois, l’utilisation de traits morphologiques du bloc crânio-facial et de la mandibule dans le cadre d’une diagnose sexuelle secondaire nous a permis d’estimer le sexe d’un nombre relativement important d’individus avec une fiabilité minimum de 95 %. Notre étude illustre ainsi l’intérêt d’utiliser des caractéristiques morphologiques du crâne lors d’une diagnose secondaire réalisée avec une méthode statistique fiable.

It is generally accepted that the coxal bone is the most reliable bone for estimating the sex of adult subjects. When the coxal bone is not usable, researchers generally turn to methods based on the skull (cranium and mandible). However, these methods are less reliable, because they are largely based on an estimate of the robusticity, which can be influenced by characteristics independent of the sex of the subject. In the context of primary sex estimation, skull-based methods should therefore be avoided. However, by using morphological traits of the cranium and the mandible as part of a secondary sex estimation, we were able to estimate the sex of a relatively large number of individuals with a minimum reliability of 95%. Our study thus illustrates the value of using morphological characteristics of the skull for a secondary sex estimation conducted with a reliable statistical method.

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