7 novembre 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Laura Kreyder, « Paris », Artois Presses Université, ID : 10.4000/books.apu.2152
La vie à la campagne est beaucoup plus saine et morale : c’est ce dont il faut chercher à convaincre les petites filles que la grande ville attire. Mme de Genlis dédie Les Veillées du château (1784) aux enfants qui vivent dans les châteaux de campagne, « genre de vie si doux, si vertueux ». Mme de Ségur punira ses Deux nigauds (1862), dont l’un, une fille, Simplicie Gargilier, quitte sans regret sa mère à la perspective de passer la saison dans la capitale. Si les trois enfants de Mme de Clém...