7 novembre 2019
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Pierre Grouix, « Il n’y avait pas beaucoup de livres, mais il y en avait un : rayonnement de L’Étranger dans Cette aveuglante absence de lumière de Tahar Ben Jelloun », Artois Presses Université, ID : 10.4000/books.apu.2326
J’écris pour ne plus avoir de visage. J’écris pour dire la différence. La différence qui me rapproche de tous ceux qui ne sont pas moi, de ceux qui composent la foule qui m’obsède et me trahit. Je n’écris pas pour mais en et avec eux. Je me jette dans le cortège de leur aliénation. Je me précipite sur l’écran de leur solitude. La parole acérée. Le vide plus un fragment de vie ramassée miette par miette.T.B. J Marqués de passion, les rapports entre Camus, l’œuvre camusienne et l’Algérie maghré...