19 juin 2020
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Jean-Louis Leleu, « 6. le chœur final : des premières esquisses à la mise en place du tissu orchestral », Éditions Contrechamps, ID : 10.4000/books.contrechamps.3488
Rapportant un propos de Berg qui, « non sans fierté », parlait de la dernière de ses Trois Pièces pour orchestre, la « Marche », comme de « la partition la plus complexe qui ait jamais été écrite », Adorno ajoute : « Il n’y a guère, parmi les œuvres de la même époque, que La Main heureuse de Schönberg qui puisse lui être comparée pour la complexité. » Au sein même de l’œuvre, c’est, de ce point de vue, la seconde partie de la dernière scène qui assurément fascine le plus, du fait de la riches...