19 juin 2020
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Jean-Louis Leleu, « 5.2 Verbundenheit (2) : « ces mystérieux accords parfaits » », Éditions Contrechamps, ID : 10.4000/books.contrechamps.3568
Ces dernières remarques nous ramènent à la question de l’axe de symétrie, et du choix effectué à cet égard par Schönberg. Sa finalité première était, à l’évidence, de faire jouer un rôle central, dans la pièce, à la triade majeure/mineure de ré : la dyade {ré la}, en effet, reste en place dans l’inversion, et la dyade axiale fa♮-fa♯, en son centre, permet de faire correspondre à toute triade majeure de A, dans B, une triade mineure, et vice versa. Ainsi, la triade mineure à laquelle aboutit A...