21 juin 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Michael H. Kater, « Richard Strauss, Jupiter compromis », Éditions Contrechamps, ID : 10.4000/books.contrechamps.914
I De tous les compositeurs qui l’ont précédé, c’est Mozart que Richard Strauss aimait le plus. Il affectionnait particulièrement la symphonie Jupiter du « divin Mozart », qu’il aimait diriger et qui représentait pour lui l’œuvre parfaite. Parce qu’il aimait tant la mythologie classique, Strauss composa à la fin de sa vie un opéra sur Jupiter – ce Dieu qui avait aimé quatre reines mortelles et désiré l’affection de Danaé, une mortelle. En août 1944, à la répétition générale à Salzbourg, le bar...