La transmission de l’art vétérinaire équin en France à travers le prisme de l’ethnobotanique

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3 février 2021

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Mathilde Richard, « La transmission de l’art vétérinaire équin en France à travers le prisme de l’ethnobotanique », Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, ID : 10.4000/books.cths.14837


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Depuis l’Antiquité, l’Homme a cherché à développer son savoir-faire pour maintenir en bon état de santé ses animaux d’élevage, nécessaires à sa survie. L’espèce équine a vite acquis une valeur supérieure à celle des autres espèces, et les premiers traités vétérinaires lui ont été exclusivement consacrés. Un grand nombre de traditions médicinales orales se sont développées autour d’elle. Ainsi, en France, jusqu’au début du xxe siècle, les savoirs institutionnels, construits sur d’anciens textes savants, ont côtoyé les remèdes et usages issus de la médecine populaire orale. Parfois, ces deux médecines se sont entremêlées ou opposées, chacune trouvant sa légitimité dans la faiblesse de l’autre. Dès lors, leur apprentissage a revêtu de multiples formes. À travers le prisme de l’ethnobotanique, nous montrerons l’évolution de l’organisation et de la diffusion des savoirs équins en France ainsi que la place réservée à la transmission des pratiques thérapeutiques équines ancestrales.

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