22 mai 2013
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Michel Marie, « Préface », CNRS Éditions, ID : 10.4000/books.editionscnrs.387
Maxime Scheinfeigel est une « rouchienne » de la première heure. J’ai eu l’occasion de faire sa connaissance à son retour d’Afrique. Elle, elle y était vraiment allée, contrairement aux personnages du film d’Alain Tanner, un peu oublié aujourd’hui. Elle revenait de quelques années passées au Mali et s’apprêtait à inaugurer une carrière de chercheuse en esthétique et histoire du cinéma. Le cinéma africain venait de commencer. Son premier mémoire fut consacré à Borom Sarrett de Sembène Ousmane,...