4. Le portraitiste

Résumé 0

L’art du portrait se trouvait donc face à un dilemme. D’un côté, nonobstant toutes les tentatives de compromis, seul s’était imposé l’argument selon lequel un portrait se devait d’être fidèle et ressemblant, sans quoi le genre risquait de perdre sa légitimité. En effet, quelle était l’utilité d’un portrait s’il ne montrait pas la personne qu’il prétendait représenter ? D’un autre côté, ce fut précisément l’argument qui entraîna sa dépréciation. Il se contentait, disait-on, de copier la réalit...

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