24 février 2016
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Jacques Berchtold, « L’empreinte du Bosphore dans l’imaginaire rousseauiste : La Nouvelle Héloïse, néo-léandride lémanique », Institut français d’études anatoliennes, ID : 10.4000/books.ifeagd.1513
Le Palais de France est non seulement commode et très logeable, mais il jouit de la plus belle vue du monde, si tant est que l’on puisse parler de coup d’œil après celuy de la ville de Constantinople, quand on la voit de la pointe du Sérail et la tour de Léandre, qui porte ce nom sans qu’on puisse en imaginer la raison. (Comte de Caylus, Voyage de Constantinople, 1716-1717) Sur le plan de l’imaginaire, Rousseau est un Genevois singulier. Il n’est pas donné à tout citoyen de la ville du bout d...