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3 juillet 2018
- doi: 10.4000/books.irasec.1379
- isbn: 9782747532877
- eisbn: 9782355960314
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Mots-clés
economics Southeast Asia security organized crime trafficking trafic piracy Malaysia Malay archipelago South China Sea sécurité économie crime organisé Asie du Sud-Est Malaisie transnational piraterie archipel malais mer de Chine méridionale piraterie maritime Political Science POL012000 JPSujets proches
Ships--Hijacking Yachts--Hijacking Maritime piracy États souverains Pays Puissances Violence en mer Détournements de navires Insécurité maritime Détournement de navires Violence maritime Archipel malais Malaisie Archipel asiatique Indes Orientales Archipel Indo-Malais Archipel Austro-Malais Indo-Malaisie Austro-Malaisie Asie du Sud-Est insulaire Archipel de MalaisieCiter ce document
Éric Frécon, « Chapitre 7. Les réactions tardives des États », Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine, ID : 10.4000/books.irasec.1379
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Résumé
7.1. LES OBSTACLES S’EFFACENT, LES ETATS SE REVELENT En 1996, une juriste concluait sa thèse de doctorat consacrée à la piraterie maritime sur le « constat d’une inertie et d’une paresse internationales ». Le manque de moyens a pu justifier cette passivité. Il est par exemple difficile pour l’Indonésie de contrôler les 17 000 îles de son archipel. Lors de la conférence tenue à Tokyo au printemps 2000, le représentant de Jakarta observait que son pays manquait de ressources face à l’immensité ...