Jours ordinaires à la finca

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17 janvier 2019

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Charles-Édouard de Suremain et al., « Jours ordinaires à la finca », IRD Éditions, ID : 10.4000/books.irdeditions.26304


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Chronique d’une plantation, Jours ordinaires à la finca restitue sur le vif la marche d’un système agraire mal connu mais répandu en Amérique du Sud. Au Guatemala, la culture du café est omniprésente. Dans la région de la Costa Cuca, « caféière géante », elle est pratiquée dans le cadre de grandes plantations, les fincas. De l’une à l’autre, si les techniques de travail se ressemblent, les situations sociales diffèrent. À la finca Los Angeles, deux groupes d’ouvriers agricoles, d’origines métisse et indienne, coexistent. Relativement ferme, le système social ne se réduit pourtant pas à l’opposition entre une classe d’ouvriers et le grand planteur. Selon les travaux, les ouvriers sont répartis entre des équipes qui reflètent une hiérarchie technique et symbolique. Les femmes, exclues des tâches nobles, développent une vie économique et sociale dans les marges étroites de l’ordre de la plantation. Les identités et les situations des acteurs de la plantation sont plus complexes qu’il n’y paraît car ce monde, apparemment clos, est aussi ouvert à la société guatémaltèque, à travers le travail salarié, les religions et les mouvements politiques.

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