8 mars 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Yasmina Benferhat, « Conclusion de la quatrième partie », Les Belles Lettres, ID : 10.4000/books.lesbelleslettres.6672
Nous avons donc vu qu’une première forme de tempérance qui serait naturelle, et fruit de l’expérience, n’a guère d’intérêt aux yeux de Tacite. En effet, celui qui se montre doux parce que son âge l’y amène, se retrouve surtout victime des intrigues et de la violence d’autrui. Ce que Tacite ne méconnaît pas, c’est la force du charisme personnel et inné qui permet d’apaiser les tensions à l’armée : on a pu le voir à travers l’exemple d’Antonius Primus en particulier. Nous sommes ainsi arrivés à...