16 mars 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Hélène Vial, « Conclusion. La transparence, l’oxymore et la fuite », Les Belles Lettres, ID : 10.4000/books.lesbelleslettres.9349
De la profondeur à la surface ? La poésie ovidienne des métamorphoses est, selon l’expression, déjà citée ici, de G. Bachelard, « la rêverie la plus mobile, la plus métamorphosante, la plus entièrement livrée aux formes », et, en tant que telle, elle « garde quand même un lest, une densité, une lenteur, une germination. » Mais l’inverse reste vrai, et la profondeur ne saurait délivrer ses mystères sans une beauté extérieure qui attire le regard et l’incite à se porter plus loin que cette surf...