La bande dessinée, une intelligence subversive

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14 janvier 2020

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Pascal Robert et al., « La bande dessinée, une intelligence subversive », Presses de l’enssib, ID : 10.4000/books.pressesenssib.8700


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Ce livre fait le pari de l’intelligence de la bande dessinée. Une intelligence profondément subversive. Intelligence cognitive, puisqu’elle sait fort bien se théoriser elle-même. L’analyste n’ayant plus, alors, qu’à se mettre modestement à son écoute. Première subversion. Intelligence sémiotique, ensuite, puisque tout est donné à voir à travers le dessin en bande dessinée (y compris son dispositif et même l’invisible) et que le décor et les corps jouent un rôle considérable dans la construction du récit. Deuxième subversion. Intelligence médiatique, enfin, puisque la bande ­dessinée transforme son lecteur en témoin et que ses formes sémiotiques s’inventent à travers différents supports qu’elle sait tout aussi bien mettre à son service, nouant alors histoire et théorie. Troisième subversion. La bande dessinée constitue ainsi une forme singulière d’intelligence narrative graphique et un appareil – notion proposée par Jean-Louis Déotte – profondément subversif. Pascal Robert est professeur des universités à l’Enssib où il anime le séminaire « La bande dessinée en questions ». Il a dirigé « Bande dessinée et numérique » (CNRS Éditions, 2016) et publié « De l’incommunication au miroir de la bande dessinée » (Presses universitaires Blaise Pascal, 2017).

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