Les bûches et la faim : relents de pauvreté dans la littérature chevaleresque franco-vénitienne

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Dans la mesure où les genres épique et chevaleresque se présentent comme un miroir dans lequel la classe féodale des nobles et des chevaliers élabore ses valeurs et par lequel elle les impose à la société tout entière, il n’est pas surprenant de constater que, dans la littérature chevaleresque, le menu peuple brille par son absence. On pourrait citer, bien entendu, certaines exceptions mais, pour ce que je connais de la littérature chevaleresque française, il me semble que les personnages « h...

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