18 février 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Luciana Repici, « Le jardin des Parva naturalia : les Plantes chez Aristote et après lui », Publications de la Sorbonne, ID : 10.4000/books.psorbonne.17634
Nous ne disposons plus de l’écrit Deplantis, auquel Aristote renvoie dans plusieurs passages de ses ouvrages conservés. Un De plantis nous est parvenu sous son nom, mais il s’agit d’un écrit apocryphe attribué à un péripatéticien du ier siècle av. J.-C., Nicolas de Damas. Les conceptions botaniques d’Aristote doivent donc être reconstruites en rassemblant des propositions dispersées dans les traités qui sont arrivés jusqu’à nous. Puisque la plupart d’entre elles sont également présentes dans ...