3 février 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Maïté Bouyssy, « Chapitre 7. Delacroix, sang et cri pour une allégorie », Publications de la Sorbonne, ID : 10.4000/books.psorbonne.58832
Après l’indistinction du sang impur pour fin de réjouissance publique agitée, le grand genre noble de l’allégorie pose par contraste le sang pur. Le tableau de Delacroix, La Grèce sur les ruines de Missolonghi est monumental au sens où le personnage s’élève en position centrale sur toute la hauteur, reléguant au statut d’accompagnement les éléments annexes. La majesté du tout tient à l’ampleur de l’œuvre (209 x 147 cm). Peint en 1826, c’est sous l’intitulé d’« allégorie » que Delacroix l’a ve...