Avant-propos

Résumé 0

« C’est du hault Alemant » soupiraient des français du XVIe siècle pour excuser tant de réticence ou d’incapacité à comprendre les messages d’outre-Rhin transmis en langue vulgaire. Si c’est du « chinois », comme on dit aujourd’hui, il faut un truchement. Lointaines imitatrices des rares traducteurs anonymes du siècle de Luther, trois historiennes et une linguiste ont conjugué leurs talents pour nous donner accès à quatre textes, qui ne furent pas – tant s’en faut ! – rédigés en haut-allemand...

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