26 avril 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Geneviève Gavignaud-Fontaine, « Conclusion », Publications de la Sorbonne, ID : 10.4000/books.psorbonne.70994
Le titre de cette première partie « Le grand œuvre de la propriété » annonçait une lente élaboration foncière dans le « temps long » ; le détail a insisté sur les limites qui l’enserraient, « la résistance aux changements », jusqu’à ce que soient affirmés par les assemblées révolutionnaires le droit de propriété, les libertés de culture et de commerce. Au XVIIIeme siècle, la permanence des liens fonciers et personnels, hérités des IX-XVeme siècles mais dénaturés en Roussillon depuis leur orig...