Discordance des temps dans quelques films de science-fiction : Babylon AD de Mathieu Kassovitz, Immortel de Enki Bilal et L’Origine du XXIe siècle de J.-L. Godard et Anne-Marie Miéville
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16 juin 2020
- doi: 10.4000/books.pub.12366
- isbn: 9791091052115
- eisbn: 9791030005127
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Mots-clés
politique mythe écologie métaphysique science mythologie littérature populaire temps littérature francophone science-fiction postmodernité apocalypse divinité uchronie anticipation LIT004150 Literature (General) DSBCiter ce document
Alain Sebbah, « Discordance des temps dans quelques films de science-fiction : Babylon AD de Mathieu Kassovitz, Immortel de Enki Bilal et L’Origine du XXIe siècle de J.-L. Godard et Anne-Marie Miéville », Presses Universitaires de Bordeaux, ID : 10.4000/books.pub.12366
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Résumé
Le temps est une donnée inséparable des mythes et récits de voyage (de L’Odyssée d’Homère à celle de Kubrick) et la représentation du temps est, elle, intrinsèquement liée à l’origine « technique » du cinéma (invention du « chronophotographe » de Georges Demenÿ en 1891, de la caméra « Biograph – Mutagraph » de Hermann Casler en 1897 et bien sûr du « cinématographe » Lumière). Or les procédés de narration dans le cinéma de science-fiction dépendent, plus que tout autre genre cinématographique,...