8 juin 2020
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Viviane Mellinghoff-Bourgerie, « Imago vitae », Presses Universitaires de Bordeaux, ID : 10.4000/books.pub.18153
Honoré d’Urfé a rédigé ses premières Epistres morales dans des circonstances dramatiques. On le sait par le jurisconsulte Antoine Favre qui se chargea de faire publier ses lettres sous forme de recueil à Lyon, en 1598 : Estant ces jours Monsieur d’Urfé en telle extremité de maladie qu’au jugement des Medecins il ne restoit espoir d’autre vie en luy que de l’eternelle, il luy advint, entre les propos que la force de l’amitié peut arracher de sa foiblesse, de parler de moy comme de celuy dont i...