16 juin 2020
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Gaston Bachelard auquel le titre de cet article fait référence, était un lecteur attentif de Joseph Rouffanche. En 1955, il lui écrivait, lors de la parution du recueil La Violette le serpent : « vous rendez aux images leur jeunesse de germe ». Quatre ans plus tard, à propos de L’Araigne d’or, le critique renchérit : « Un livre de vous est une ouverture de monde. [...] Je quitte mes songes pour vous lire » mais « mes songes reviennent, vous les faites revenir ». Parmi ces songes, les rêveries...